• Sangoku n’a pas pris une ride

     

    Piccolo ou Nail? Difficile a dire...
    Piccolo ou Nail? Difficile a dire...

    On a pu s’essayer à la version PS2, et il faut avouer que même si l’âge de la console commence à se faire sentir, le jeu est très attirant graphiquement. Le Cel Shading est bien pratique, puisqu’il permet d’effacer les rides, en passant un baume cartoon, qui ne vieillit pas, ou peu. On peut donc dire sans risque que le jeu est beau et fidèle à la série à ce niveau là. Si les versions précédentes étaient déjà réussies, celle-ci surpasse tout ce qui s’était fait avant. C’est fluide et rapide à souhait, bref on se croirait dans un épisode du manga.
    Ensuite, on en avait déjà parlé ici, le nombre de personnages jouables à encore augmenté. Quinze nouveaux arrivants viennent gonfler les rangs des 135 personnages déjà présents. Si vous faites le calcul, on en arrive à 150 en tout ! C’est du jamais vu dans un jeu de combat. Les développeurs sont allés fouiller dans le moindre OAV pour ramener à la vie ceux qui avaient été oubliés, ou ceux qui ne sont connus que par les fans de la série. Pour vous donner un exemple, on retrouve le Roi Végéta, qui n’est autre que le Roi des Saïens, et accessoirement le papa de Végéta, ayant péri lorsque Freezer décide de se débarrasser de cette race de guerriers en détruisant leur planète. On pourra aussi jouer avec Babidi, le sorcier venu sur terre pour aspirer l’énergie vitale des combattants afin de ressusciter le « terrible » Boubou. Des personnages moins connus tels que C-13 sont aussi de la partie. Ce dernier est issu de l’OAV « L'offensive cyborg », et est le fruit de la fusion entre deux robots, C-14 et C-15, qui n’étaient pas assez forts pour tuer Sangoku.
    Le gameplay reste identique à celui des versions précédentes : on dirige un personnage dans une vue de trois quarts, dans des environnements tirés du manga de Toriyama, et on doit taper son ennemi en lui lançant des boules de feu et autres combos tout autant destructeurs dans le but de remporter le combat. Les décors sont toujours destructibles, et on prendra un certain plaisir à voir nos adversaires s’écraser contre des murs ou des montagnes comme de vulgaires insectes.

     

    KAMEHAMEHAAAA !

     

    C'est gros, moche, violent et poilu. Un singe géant quoi...
    C'est gros, moche, violent et poilu. Un singe géant quoi...

    Jusqu’ici on peut se dire que la seule chose qu’ont rajouté les développeurs est une poignée de nouveaux personnages. Mais en fait ils sont allés un petit peu plus loin, histoire de justifier le numéro 3 qui ornera la jaquette.
    Tout d’abord, la Wii jouira d’un mode online qui semble prometteur puisque l’on devrait pouvoir affronter des joueurs sur le net. Ensuite, pour peu que vous ayez déjà joué à Tenkaichi 2 sur la console de Nintendo, vous savez que le pointeur de la Wiimote devait être affiché à l’écran si vous vouliez déclencher une super attaque, et bien ce temps est révolu. On pourra maintenant lancer un Kamehameha ou un Final Flash sans se prendre la tête à mettre le curseur au bon endroit ! Voilà une nouvelle plutôt bonne car les manipulations à effectuer manette en main étaient assez agaçantes.
    Les deux versions bénéficieront de replay enregistrables, que l’on pourra envoyer à ses potes par le net avec la Wii, et par échange de carte mémoire avec la PS2. On nous a dit que le but est de motiver les joueurs à reproduire du mieux possible les affrontements que l’on a vu et revu à la TV, reste à savoir si ça prendra, même si on en doute un petit peu…
    L’autre grosse nouveauté de ce titre tient dans l’ajout de cinq nouveaux niveaux qui intègrent une gestion du jour et de la nuit. Qui dit nuit, dit pleine lune. Et si la nuit tous les chats sont gris, à la pleine lune, tous les Saïens sont poilus. Si vous n’avez toujours pas compris, sachez que certains personnages, dont le Roi Végéta, pourront se transformer en singes géants. Si la pleine lune n’est pas encore apparue, une technique ancestrale leur permettra de lancer une boule de feu qui simule l’astre nocturne.
    Quand on passe en mode gorille, le jeu prend une autre ampleur. On devient très fort et très grand. Nous avons vu un combat Babidi contre le Roi Végéta en mode Singe, et autant dire que le sorcier ne faisait pas le malin !

     

    En résumé

     

    Dragon Ball Z Budokai Tenkaichi 3, en plus d’avoir un nom qui fait mal à la mâchoire quand on le prononce vite, a de grandes chances de proposer une expérience de jeu plutôt riche. Les personnages sont nombreux, les niveaux sont vastes et destructibles, les attaques spéciales sont puissantes et les problèmes de la version Wii semblent avoir été corrigés. Namco Bandai ne le cache pas, il veut faire de ce titre la référence du jeu de combat sur Wii, ainsi que la meilleure adaptation de la série. La firme semble avoir pris le bon départ, reste à voir si la version PS2 ne sera pas en reste par rapport à son homologue Nintendo.


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    Séances de kiné en vue...

    Le moins que l’on puisse dire, c’est que la présentation de ce dernier épisode PS2 de Dragon Ball Z à la GC 08 n’aura pas tiré en longueur. Et pour cause, les développeurs ont du sentir que les nouveautés ne constituaient pas franchement l’atout majeur de ce tout dernier épisode de la série japonaise animée. Deux modes de jeu sont proposés : Combat et Histoire. Mettons d’emblée les choses au point : le système de combat d’Infinite World reste le même que celui de Burst Limit par exemple, sans innovation sur ce point. En revanche, l’accent a clairement été mis sur les cinématiques des affrontements, particulièrement alléchantes. Les surfaces de combat sont désormais destructibles, en fonction de la violence de l’attaque que vous sélectionnez. Un rendu qui nous a semblé au top de ce qui se fait sur PS2. En tout, ce ne sont pas moins de 40 personnages à prendre en main, soit une petite centaine si l’on compte les transformations.

    Les créateurs de chez Namco Bandaï souhaitant proposer une expérience nouvelle par rapport à celle des précédents DBZ, ils ont songé à un mode histoire un peu différent. Ainsi, une trentaine de missions basées sur les évènements jalonnant la série permettront aux novices de se familiariser avec l’ambiance de la série, et aux connaisseurs de revivre certains passages mémorables. Nous avons pu assister à une sorte de course de Goku, qui devait passer à travers des anneaux dans un temps limité. Mais le plus désolant de ces mini-jeux était probablement le pseudo jeu musical. En appuyant sur certaines touches en rythme, le personnage effectue certains mouvements qui lui permettent d’envoyer son adversaire au tapis en cas de réussite. Bref, nous sommes à mille lieux de l’univers original de Toriyama. Et comme pour justifier ce choix plus que contestable du « DBZ à toutes les sauces », ces messieurs de Namco Bandaï ont ressenti le besoin de se justifier : « Comme c’était le dernier sur PS2, on a voulu que les joueurs puissent jouer presque à l’infini ». Quitte à mourir d’ennui.

    Pour ce qui est de la physique évoquée précédemment, aucune contestation n’est possible. C’est bien le plus abouti et le plus élégant des DBZ de la deuxième console de salon de Sony. Malheureusement aucune nouveauté dans les personnages, aucun nouveau décor, pas de nouvelle combo… Bref, du réchauffé servi longtemps après le repas. Pire : le mode online brille par son absence. Un épisode qui s’adresse donc exclusivement aux collectionneurs de jeux Dragon Ball Z, puisqu’il existe actuellement aussi bien, voire mieux et moins cher. Mais n’achevons pas un jeu qui n’a pas encore vu le jour. Le mois de décembre dévoilera le dernier DBZ sur PS2 et, peut-être, quelques surprises dans le même temps.

     


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  • Paris manga 7

    Les 7 et 8 février

    La convention parisienne qui tient le rythme d'une édition tous les semestres revient pour la septième fois.

    Crédité de 25 000 visites pour la sixième édition, le festival Paris Manga s'étale désormais sur 10 000 m2.

    Les activités sont classiques et s'articulent autour des jeux vidéos, la culture japonaise en plus de la japanimation, avec son lot de stands amateurs et professionnels, et d'événements habituels comme le karaoke et le cosplay.

    http://www.parismanga.fr/


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